“Tramonti di parole”: à la Villa Butera « La Nuit de l’Anti-Mafia » de Lucio Luca
Vendredi 27 Septembre 2024
« La nuit de l’Antimafia » édité par la rédaction Aliberti, écrit par le journaliste Lucio Luca, est le livre qui sera présenté vendredi 27 septembre à 19 heures à Villa Butera (Bagheria), dans le cadre de la revue littéraire ‘Tramonti di parole’, promu par la presse parlementaire sicilienne en collaboration avec le groupe hôtelier Domina de la famille Preatoni, Innovation Island et Restart Palermo.
Marco Pomar et Piero Messina dialogueront avec l’auteur. Parrain de la soirée la brasserie Ribadi. L’entrée est gratuite.
L’événement bénéficie du patronage de l’Assemblée Régionale Sicilienne, de la Présidence de la Région Sicilienne, de la Ville Métropolitaine de Palerme et de la Commune de Bagheria.
Rendez-vous ultérieurs:
– le 9 octobre « La prophétie du CL » du journaliste Marco Ascione;
– le 18 octobre Prof. Gianni Puglisi donnera une conférence sur le groupe 63 qui, au milieu des années 60, animait le débat intellectuel en Italie, en se réunissant à l’hôtel Zagarella.
Synopsis: Il y avait une « tsarine » à Palerme. L’une des personnalités les plus puissantes et les plus méfiantes de la ville : le président de la section des mesures de prévention du Tribunal, une ancienne icône de la lutte antimafia. Cependant, il était capable d’organiser un réseau d’avocats, de comptables et de teneurs de livres dans le but de vider les entreprises saisies du crime, de les mettre en faillite et de percevoir de riches salaires pendant des années. Et puis il y avait le fils d’un entrepreneur, propriétaire d’un domaine viticole primé au monde. Il est accusé d’être un mafieux, ami de patrons du calibre de Bernardo Provenzano, Madonia et Lo Piccolo. Il faudra des années pour dénouer le complot ourdi contre lui, ainsi que celui de nombreux autres entrepreneurs siciliens faussement accusés de mafia pour leur confisquer leurs avoirs. Aujourd’hui, la boîte de Pandore du plus grand scandale anti-mafia sicilien s’est ouverte, grâce à quelques journalistes gênants. Mais la bataille n’est pas gagnée. La fin déconcertante de ce livre, qui n’a que le style narratif d’un roman car les faits sont tous vrais, vous en parlera : vous laissant avec la sensation amère d’une société, la sicilienne, qui semble encore incapable d’apprendre de ses erreurs. Préface d’Enrico Bellavia.